Grotte féérique d'Aokas

Publié le par Bgayet et sa region

Grotte féérique d'Aokas

Située à 25 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Béjaïa, sur la corniche du cap Aokas, semblable au bras d’un géant étendu sur la mer, et en s’engouffrant dans le tunnel qui le traverse, vous y remarquerez à coup sûr les quelques marches menant à une porte métallique située sur le flanc droit : c’est la grotte féerique, le trésor naturel, une splendeur dont seule dame nature possède le secret.
A titre de rappel, cette grotte féerique a été découverte en 1962 par une multinationale (italo-espagnole), lors de la percée du tunnel pour le passage de la RN9 qui dessert également les wilayas de Jijel et de Sétif.
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Aokas

L’histoire d’Aokas

Le douar d’Aokas a été créé par décret du 2 octobre 1869. Il a une superficie d 2.202 hectares et une population indigène de 2.245 habitants (Recensement de 1931). Son altitude moyenne est de 300 mètres. Sept fractions forment ce douar : Tabellout, Tixerrubine, Taremant, Aliwen, Mesbah, Aqqar, Ait aissa.

Les Beni M’hamed sont d’origine berbère remontant à une époque très reculée. Les premiers occupants de cette tribu seraient les Ait Makhlouf établis un temps immémorial dans les bassins de l’Oued M’sbah, de l’Oued n Tbellout et sur une partie du territoire situé sur la rive droite de ce cours d’eau et comprises dans la tribu des Ait Ouaret ou Ali aujourd’hui rattachée à celle d’Aokas.

Vers la fin du XVe siècle de l’ère chrétienne, au moment où les Maurs vaincus par les Espagnols repassèrent la mer et se répandirent dans le Nord de l’Afrique (1492) deux familles vinrent s’établir dans le pays sous la conduite de deux chefs riches et marabouts vénérés : M’hamed ou Said Ouled M’hamed ou Mâmmer (notre ancêtre) originaire de Sekiet el Hamra, au sud du Maroc.

Mes Beni M’hamed ont vécu constamment en guerre avec leurs voisins ; ils n’ont jamais payé d’impôts aux Turcs et ils ont toujours joui de l’indépendance qu’ils avaient su conquérir jusqu’à leur soumission, d’une façon définitive au général Rando, après un combat acharné de deux jours, livré au col de Tizi ou Sekka (mai 1853).

Histoire tirée du livre de RAHMANI Slimane intitulé :
"Notes ethnographiques et sociologiques sur les Bni M’hamed du Cap Aokas et du Bni Amrous"









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